Dust in the Wind
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 what's the fuck? @Eden

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AuteurMessage
Hugo A. McLaggen
Eh mais c'est Hugo A. McLaggen !

MESSAGES : 216


▬ STRANGER IN A STRANGE LAND
STATUT: célibataire
TON TRUC EN PLUS: est l'architecte le plus demandé d'Irlande, vit dans un appartement dans Handkerchief, est plein aux as mais ne le montre pas, a un immense tableau noir dans sa chambre lui servant de mur, adore lire, est un véritable pervers qui part au quart de tour.

what's the fuck? @Eden Vide
MessageSujet: what's the fuck? @Eden   what's the fuck? @Eden EmptyJeu 16 Sep - 21:06


H U G O & E D E N

what's the fuck? @Eden Edenethugo2
SOMEBODY ONCE TOLD ME
THE WORLD IS GONNA ROLL ME
Hugo tomba à la renverse, et explosa de rire. Il partit dans une euphorie incontrôlable à s'en tordre le ventre. Il fallait avouer que ça ne lui arrivait pas si souvent que ça. Non pas de tomber dans un fou rire abominablement infinissable, non, mais plutôt de se retrouver comme ça, à moitié nu sur le parquet de sa chambre. Il était tombé sur le dos, les yeux fermés tellement il riait, la main posée sur son torse, et n'arrivait pas à se calmer. A chaque fois qu'il tentait de reprendre sa respiration pour aligner deux mot ou pour reprendre ce à quoi ils s'affairaient, Eden et lui, à cet instant là, il explosait de nouveau de rire. Ses abdos commençaient à lui faire mal au fur et à mesure qu'il avançait dans cet interminable supplice. Il fallut quelques secondes à McLaggen pour se relever et se reposer sur le lit, s'emparant de nouveau des lèvres de mademoiselle Kipling, reprenant doucement ses caresses.

Supermarché d'Handkerchief, 10:53. Hugo n'avait pas de plans à rendre en retard - au contraire, il était même en avance sur son boulot, chose assez rare dans le bâtiment - et n'avait ni rendez-vous, ni contraintes. Depuis la veille au soir, il était officiellement en congés, chose qui n'était pas arrivée depuis un certain moment déjà. C'est bien beau d'être architecte, mais il faut savoir assumer son choix de carrière. Autrement dit, il devait prendre sur lui et bosser pratiquement sept jours sur sept, à la limite de ne plus dormir. Il détestait le retard, il faisait donc son possible pour ne jamais décevoir un client en s'y prenant trop tard dans ses plans. La dernière chose qui lui avait été confiée était la construction totale d'une baraque dans le style de celles que l'on trouve à la Nouvelle Orléans, en Louisiane. Sans trop savoir pourquoi, il adorait ce genre de bâtisses, et c'était toujours un plaisir pour lui d'en dessiner les structures. Cependant, comme dans chaque métier, il y a un moment où il faut savoir dire stop. Aujourd'hui, cela s'averrait être celui d'Hugo. C'est donc muni d'un cadis que le jeune homme déambulait parmi les étalages du supermarché à la recherche des produits dont il avait besoin. Dentifrice, crayon à papier - à force d'utiliser le sien, il était devenu minuscule -, lait, eau, capotes. Le montant de son budget pour les préservatifs étaient tellement élevé que quand il en parlait avec certains de ses collègues ou de ses potes, ils n'en pipaient mot. Cependant, il ne se doutait pas qu'il fut une nuit où il aurait réellement dut en mettre un.. Quoi qu'il en soit, c'est en allant chercher une conserve pour lui manger ce soir qu'il croisa, dans le dit-rayon, Eden-Pepper Kipling. Entre elle et lui, il y avait une relation quelque peu.. Salace. Et à la fois à peu près amicale. Le mélange donnait un tout explosif qui plaisait beaucoup à l'archi. Il s'avança donc vers elle en essayant de ne pas faire trop de bruit, et se retrouva au niveau de son oreille. Dans un murmure ayant une consonance légèrement perverse, il lui dit alors « Va à la caisse et passe chez moi, mmh? » Il n'en rajouta pas plus, n'en trouvant pas le besoin, lui adressa un immense sourire en coin et parti payer ses achats avant de regagner son chez-lui.

Chose promise, chose dut. Environ un quart d'heure après leur rencontre au supermarché de la ville, Eden était sur le palier de la porte d'Hugo. Lorsqu'il entendit que quelqu'un frappait, il ne put s'empêcher d'afficher un sourire tel une banane. Il s'avança donc vers l'entrée de son immense maison - bien sûr, qui dit Hugo dit forcément immense, donc il lui fallait bien un logis digne de ce nom - et ouvrit. Il regarda Eddy de haut en bas et de bas en haut, s'appuya contre sa porte, croisa ses bras, puis fini par dire, avec son air habituel qu'il arborait lorsqu'il était sur le point de coucher avec une fille - soit un air sûr de lui, toujours un peu chaud - : « Tiens, une jolie inconnue sur le pas de ma porte. Je devrais y être habitué, mais toujours pas.. » Puis, doucement, il s'approcha d'elle, la prit par la taille et l'attira dans la maison, refermant la porte derrière eux. Une fois à l'abri des regards - non pas que ça le gênerait, il faut dire, d'être vu - il fit avancer avec douceur ses lèvres dans le cou de la jeune femme, la serrant légèrement contre lui et la guidant jusque dans la chambre. Puis, tandis qu'il couvrait de baiser le ventre de la demoiselle, tout deux déjà en sous-vêtements, un bruit de vibreur se fit entendre, puis un râle provenant de la bouche d'Hugo. Qui pouvait bien oser les déranger dans un instant pareil?! Certes, les gens n'étaient guère au courant de ce à quoi ils s'affairaient ensemble, ces deux-là, mais il n'empêche que la sonnerie du portable d'Eden agaça le jeune architecte. La mélodie s'arrêta. Cependant, alors que McLaggen allait reprendre là où il en était, une poignée de seconde après que le silence envahit la pièce, la mélodie se fit entendre de nouveau. Il soupira. « Décroche, ils vont pas arrêter sinon.. » La jeune femme suivit donc son conseil et décrocha. C'est alors qu'Hugo partit dans ce fou rire atroce. Eden prit une voix différente de la sienne, rappelant légèrement celle des femmes d'affaires importantes, et dit : « Désolée, je ne suis pas intéressée par vos aspirateurs. Écoutez, je suis en réunion très importante et je n'ai pas le temps de vous parler. Oui, c'est ça, au revoir. » Lorsqu'elle eut raccroché, le jeune homme tomba à la renverse tellement il rigolait. C'était tout à fait lui, ça. Depuis qu'il était gamin, Hugo avait tendance à rire pour un rien. Ce comportement amusait beaucoup sa mère, tandis qu'il énervait atrocement son père. Quand ce dernier haussait la voix sur son fils et que sa langue fourchait sur un mot, c'était parti. L'adolescent ne pouvait pas s'arrêter de rire, encore et encore. Une atrocité, vous dis-je. Son dos heurta le sol dans un bruit sourd, mais ce ne fut pas pour autant qu'il se calma, bien au contraire. Il avait un rire bien particulier, propre à lui. Une sorte de 'hahaha' grave, qui déraillait pourtant parfois dans les aiguës. L'expression de son visage était, elle, toujours la même lorsqu'il riait de cette façon. De légères rides apparaissaient sur son front, ses yeux étaient presque fermés tellement il les plissaient, et sa bouche arborait un sourire absolument craquant. Mais le fou rire s'arrêta plus tôt qu'Hugo ne l'imaginait, lorsque quelqu'un frappa à la porte. De suite, le bruit calma l'architecte, qui soupira de nouveau. Il ne bougea pourtant pas, pensant qu'ainsi la personne partirait. Mais non. De nouveaux frappements vinrent résonner contre la porte en bois. Dans un geste rapide, Hugo se releva et remit son pantalon, histoire de ne pas ouvrir la porte en caleçon, et dit à l'intention d'Eden : « Bouge pas, je reviens. » Il descendit alors quatre à quatre les escaliers, puis arriva enfin dans l'entrée. Quand il ouvrit la porte, il ne vit rien. Du moins, au début. Il scruta l'horizon, les toits des maisons se déroulant sous ses yeux, puis baissa la tête dans un geste machinal. Il ne s'attendait pas à voir ça, ça non. Instinctivement, il murmura : « C'est quoi ce bordel..? »
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